Le topic des déprimés

Putain!!! Un de mes meilleurs potes que j'apprécie trop trop arrête l'INSA...
Il a décidé de tout arréter, et ce dès aujourd'hui...

C'est vous dire à quel point les cours sont démotivants... Ca va etre de plus en plus triste l'INSA maintenant...

En plus ce matin je me suis rendu compte que le sens même de la vie ne tenait à pas grand chose.
J'explique...

Pour vous, qu'est ce que vivre? Personnellement, pour moi vivre c'est engranger assez de bonheur pour que notre nous ai semblé intéressante, pas fadasse. Bref.

A votre avis pourquoi je ne vais pas en cours, quand ça me fais chier? parce que je me dis que c'est du temps perdu sur ma vie, que je profiterai plus de l'instant présent en me baladant sous le soleil, en allant voir des gens que j'aime bien etc.
Si j'arrive à passer à l'année supérieure en limitant la casse, c'est là le principal. A quoi ça sert d'être bien ou mal classé? au final on a le même diplome...

Justement un diplome, et là j'en viens à ce qui m'a paru soudainement absoluement absurde.
Les moments que j'apprécie: passer du temps avec mes amis, faire de la musique etc, lorsque j'aurai un boulot, aurai-je autant de temps pour en profiter? Je ne pense pas,et si je veux faire une pleintaine d'activités, aurai-je du temps libre, rien que pour moi, pour me reposer, réfléchir etc?
Je me dis alors que le travail que j'occuperai empiètera considérablement sur ma vie. or? Si je travaille , ce n'est pas pour avoir de quoi vivre?
Il n'y a pas une contradiction ici?

c'est ainsi que l'on voit apparaitre des gens qui se complaisent dans leur réussite sociale, financière etc... Mais la vie dans tout ça?

Evidemment, vous allez me dire... Bah voilà tu fais des études c'est pour avoir un boulot qui te plait!!
Cool, j'ai un boulot qui me plait, et alors? cCa aide à mieux faire passer la pilule, c'est tout. Ce n'est pas parce que j'aurai un boulot intéressant que le jour de ma mort je pourrais être satisfait de ma vie.

Je sais très bien que ce genre de pensées "embête" le reste de la société, car si chacun fait ce qu'il lui plait, ça risque de donner quelques déviances (là ça rejoint la grande question " l'homme est il fondamentalement bon ou mauvais..." ). Mais personnellement je ne vois pas beaucoup d'autres raisons de vivre que de profiter pleinement de l'instant présent.

Si vous avez des lumières à me donner, n'hésitez pas... Et désolé pour cet exposé de mon mode de pensée assez mal structuré et expliqué.

je te rejoins un peu là-dessus: on passe notre temps à bosser, pour gagner un jour assez d'argent pour nous payer des loisirs dont on n'a pas le temps de profiter...

en revanche, si la vie n'était faite que de loisirs, on finirait par s'ennuyer... alors que le fait de travailler rend les loisirs plaisants et on les attends avec impatience.

quand tu bosses 40h par semaine (c'est un exemple) tu es content d'etre en vacances, pour en profiter et ne rien faire. Quand tu es au chomage, tu ne fais rien de tes journées, et du coup il n'y a plus la notion de vacances...

du coup, je suis peut-etre bizarre, mais moi j'aime travailler et gagner de l'argent !

Oui c'est vrai que de travailler permet de mieux profiter des loisirs... Mias je trouve ça un peu "bête" d'être obligé de se contraindre pour réapprendre les plaisirs de la vie.
Enfin bon, c'est pas moi qui vais changer le monde...

Nico_RRRR a écrit:

Enfin bon, c'est pas moi qui vais changer le monde...

crois-en mon expérience, j'ai essayé il y a 2000 ans, mais les gens ont eu peur et m'ont crucifié...

Faites comme moi, ambitionnez dans la vie d'être homme au foyer! (et éternel étudiant)

Plus sérieusement, c'est vrai que l'on se dit parfois qu'il est plus mieux de profiter de la vie, là, maintenant, et que les études, c'est chiant etc. Mais d'un autre coté, on parle aussi d'avenir. Certes, faut pas se pourrir la vie dans les études. Mais regardons bien :
* avoir un travail de merde et trouver que sa vie est pourrie ;
* avoir un bon travail et trouver que sa vie est pourrie.
Lequel est le mieux?
Après, pour ce qui est d'apprécier la vie, faut juste réussir à faire la part des choses.
Si je te cites ce que dis Wikipédia pour l'hédonisme :

Wikipedia a écrit:

D'abord la recherche des plaisirs et le rejet des déplaisirs. La conjonction de ces 2 points empêche la simple jouissance immédiate, instantanée au mépris des conséquences : tout plaisir n'est pas hédoniste. Certains plaisirs doivent être évincés car ils conduisent à des déplaisirs futurs si grands que le plaisir immédiat est trop faible en regard de la souffrance à venir. L'hédoniste évalue donc les situations en fonction du plaisir et/ou du déplaisir, à la fois dans l'immédiat et dans l'à venir.

Dans la vie tout est une question de priorité. Tu peux bosser tes 35h/40h par semaine dans un truc qui t'éclate. Tu peux aussi avoir un taf qui ne te fait pas chier (c'est déjà bien!) et qui ne t'empêches pas de t'épanouir dans la vie. J'ai des potes qui bossent et qui continuent de jouer dans un groupe au moins un soir par semaine (répet') et de faire même quelques tournées ("international", ils sont allés en Belgique notamment). C'est un exemple, hein En fait, c'est qu'il te faut hiérarchiser tes choix.
A tes yeux, qu'est-ce que le bonheur? L'immédiateté prime-t-elle sur l'avenir? Parce que si oui, fais tienne la devise de James Dean "Vivre jeune et mourir vite". Y'a plein de drogues et autres plaisirs qui vont te pourrir le corps, mais si tu ne restes pas en vie assez longtemps pour avoir les effets désagréables, up to you. Je trouverais ça dommage, mais c'est ta vie.

Et pour le plaisir, dans une logique épicuriste (je suis très en forme philosophique ce soir, dites-donc!), tu ne peux apprécier une chose que si tu en connais le manque. Ainsi si tu as toujours été rassasié en permanence, tu n'apprécieras pas manger. Par contre, si tu as jeuné au moins une fois, ou eu faim, tu apprécieras avoir le ventre plein. De même pour les relations amoureuses et les contacts physiques (quels qu'ils soient). Tant que tu n'as jamais eu de petit(e) ami(e), tu ne souffres pas autant d'être seul. Et tant que tu n'as pas d'impératifs horaires, tu n'apprécies pas la liberté.
Rousseau disait que s'il était dans une forêt ensoleillée, il décrirait l'enferment ; s'il était à la Bastille, il peignerait le plus beau portrait de la liberté.

Franchement, en plus avec les actuelles 35h, on a du temps libre. Et l'avantage d'un boulot par rapport aux études, c'est qu'une fois sorti du bureau, on n'a pas encore des choses à faire à ce propos. Je sais ce que c'est. Je suis en recherche. Chaque soir, ou le week-end, c'est comme une épée de Damoclès au dessus de ma tête. Et ça m'arrive de bosser entre 22h et 3h du mat'. (bon, ça me permet aussi de me lever vers 14h du mat' certains matins où j'ai réellement la flemme, aussi ^^)

Au final, je te dirais : "always look on the bright side of life" et d'essayer de motiver ton pote pour ne pas tout plaquer sans l'avoir bien réfléchi. D'un autre coté, peut-être que ce sera mieux pour lui ainsi. Mais attention de ne pas vivre dans le regret.


JBeuh, qui se fait donneur de leçon, alors que franchement, il n'est pas le mieux placé au monde...

En même temps, ce qui me travaille actuellement est assez similaire (tout en étant différent )... C'est sur la question de rester dans une prison dorée où tu as de l'ordre et de la sécurité ; ou de sortir et bénéficier de la liberté, mais retourner dans le désert sans certitude sur l'avenir ni être sûr qu'au final on aura mieux... Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras dit-on.
Et puis avec mes métaphores et allégories, ça aide pas beaucoup. Mais bon, vu que je ne sais pas avec qui en parler, hein...

JBeuh, qui n'est pas tout pas déprimé non plus...

Merci pour ton post Jbeuh. je ne suis pas d'accord sur tout, mais là je n'ai pas le temps de développer...Mais le sujet m'intéresse vachement (normal, c'est toujours utile de se trouver une raison de vivre), et je répondrais dès que j'aurai assez de temps.
Mais ça fait bizarre de se rendre compte d'un coup, et de le ressentir au plus profond de soi, que la vie n'a pas forcément un sens. (désolé j'arrive pas à expliquer ce que j'ai subitement ressenti )

Nico, c'est un peu ce dont on a discuté hier soir (un peu avant le coup des concours de pirouettes de dessous de verre ). A quelques semaines près je me suis fait exactement (et vraiment presque mot pour mot, style mis à part ) la même réflexion : qu'est ce que je fous là, pourquoi depuis que je fais des études je ne profite pas de ma vie ? Je me suis toujours dit que je bosserai pendant mes études pour pouvoir ensuite avoir de quoi vivre une vie des plus agréables....

Et puis en arrivant à l'insa j'ai commencé à déchanter (démotivation propore aux études insaiennes...) et j'ai compris que c'était maintenant inutile de bosser à fond, puisque comme tu dis, du moment que j'ai le diplome... pourquoi en faire davantage ?

Et puis donc, il y a peu je me suis carrément demandé si je m'étais pas trompée de voie (je ne sais toujours pas...). Et je me suis aussi dit qu'en effet, je n'aurais pas le temps pour mes loisirs, pour profiter de la vie quand je serais ingénieur, à cause de mon emploi du temps probable, du boulot que j'aurais à faire... En particulier je me suis toujours dit que quand j'aurais du temps ET de l'argent je reprendrais les cours de piano, mais je me suis rendue compte que je me berçais depuis des années dans de noires illusions (un peu de poésie romantique ne fait pas de mal, le romantisme ne sied-t-il pas à merveille à ce topic ?...).

Donc, bon pour arrêter de raconter ma vie, l'issue de ma réflexion (qui n'est pas mure, c'est une solution de secours en attendant une révélation) à été plutôt rationnelle (on ne change pas la disposition d'un cerveau formaté à la logique cartésienne depuis 6 ans...) et donc de finir mes études, rien ne m'empêchant, comme nous en parlions, de prendre un poste en dessous à l'issue de ma formation (même si ca me branche pas d'être technicienne chimiste).

Et puis le développement de cette idée, nourrie communément avec ma petite Lucie : on finit cette école de m**** et après on se casse à l'étranger ou alors on ouvre un resto


EDIT : après avoir lu le post de jbeuh et la suite (l'autre page en fait) :
Je suis assez d'accord avec JBeuh. Ne t'en fais pas trop tout de suite et essaie de construire un truc dans lequel tu pourras développer ton bonheur futur (c'était ma conception initiale de la chose et je crois que c'était pas si con). Tu trouveras en temps voulu le moyen de profiter de ta vie (quitte à vivre la nuit, je sais pas, à faire plein de voyages, enfin c'est des exemples cons parceque je n'y suis pas, il y a certainement des choses plus simples qui te rendront heureux).

Et je comprend aussi ton sentiment vis a vis de cette soudaine "révélation". Pour moi ça a été assez troubalnt pendant plusieurs jours quand je me suis rendue compte de ce truc aussi, je suis restée un peu en panique pendant quelques jours, choquée de me rendre compte de ça soudainement et de me sentir si conne de n'y avoir pas réfléchi plus tôt (d'avoir foncé tête baissée...).

Moi je me fait plaisir avec mon Master mais bon je pense pas sincèrement que me soit utile pour le futur, je pense pas pouvoir devenir prof de fac ou quelque chose dans le genre. Donc je fais ça avant mon projet de passer un concours qui va me bouffer vraiment la vie

les études et l'objectif professionnel, c'est un truc auquel j'ai longtemps réfléchi ... pour moi c'était primordial de faire un taf qui me plaisait plus tard; c'est pour ça que j'ai commencé par tenter une première année de médecine. et pi bon après jme suis rendue compte que 1) les études me conviendraient pas du tout et que 2) c'était trop me demander ... du coup jme suis trouvé un autre objectif professionnel ( prof de français ) qui me plaisait bcp aussi, et jme suis réorientée. les études sont moins dures, bien que très chiantes ....

donc je pense que l'important en premier plan est d'être motivé par le futur métier envisagé; après, on ne peut pas nier que sans un moral en béton et une volonté à tout casser, si les études sont dures ou très chiantes pour atteindre cet objectif professionnel, ça devient chaud les marrons

ensuite, personnellement je me suis tjs dit que qd tu faisais des études, tu bossais dur qd mm. et que donc c'était normal qu'une fois ds la vie active tu profites un peu plus de loisirs. enfin c'est ma vision des choses. après on sait bien qd on s'oriente vers tel ou tel métier qu'on n'aura pas le mm style de vie que si on s'oriente vers tel ou tel autre ... par exemple moi j'veux des enfants ( ben oui ) et ça me serait pas venu à l'idée de vouloir être cadre, de bosser j'sais pas combien d'h par semaine, de rentrer à 20h tous les soirs .... comme si j'en ai je veux pouvoir m'en occuper, les voir, etc, le professorat est aussi un métier idéal !! enfin c'est vrai que j'ai "choisi" ce métier car il correspond bien au mode de vie que j'envisage;

après ya d'autres métiers qui m'interessent carrément aussi ( notamment dans le culturel ) mais ça cole moins avec une vie de famille et je les ai évincés dès le début. enfin bref, en fait je pense qu'on devrait fonctionner par priorité qd on s'oriente ( qu'est ce qui ets le plus important pour vous ? gagner de l'argent ? avoir une vie de famille ? un métier qui vous plait ? des études courtes ? du temps pour rien faire ? ); si pour toi le principal c'est de t'amuser, ou d'avoir une vie de famille, ou de t'épanouir dans ton taf etc ...

mais pourquoi vous consultez pas un conseiller d'orientation ? bon je sais, Yvounet va rire si il lit ça ( et pi jte zut d'abord ) mais ça sert pas à rien les conseillers d'orientation !! allez faire un saut au CIO de rouen et demandez à voir mon père il est sympa et pi il a vraiment une conscience professionnelle bon après je pense que les autres aussi hein

enfin voilà, heu jpense pas que ce moment racontage de life a bcp aidé nico alors .... je sors désolée

Maya a écrit:

enfin voilà, heu jpense pas que ce moment racontage de life a bcp aidé nico alors .... je sors désolée

(je ne cite que ça pour l'instant mais j'ai aussi lu le reste)

Au contraire ça m'intéresse énormément de connaître votre vision de la vie.
Je me sens moins seul
Et t'inquiètes pas la sortie d'hier soir m'a bien remonté le moral

Jbeuh, ton deuxième post rejoint mon point de vue, mais, si tu me le permets, je vais déjà répondre au premier.

En ce moment, je perçois le travail plus comme une contrainte,ce n'est pas, pour moi, un sujet de satisfaction en lui -même. Penser pouvoir être content de travailler pour gagner de l'argent me donne l'impression de me leurrer (alors que paradoxalement, j'ai bien envie de trouver un taf et de financer mes études, mes sorties etc) . Pour prendre une comparaison certe éxagérée, mais qui vous permettra de comprendre mon point de vue, j'ai l'impression que être content de travailler, c'est être comme le prisonnier qui s'extasie sur les jeux du soleil sur les murs de sa cellule, alors que la porte est ouverte.
Cependant je pense que cet étât de pensée dans lequel je suis actuellement n'est que passager, et que sous peu je serais heureux deme faire réenglober par le système

Jbeuh a écrit:

A tes yeux, qu'est-ce que le bonheur? L'immédiateté prime-t-elle sur l'avenir? Parce que si oui, fais tienne la devise de James Dean "Vivre jeune et mourir vite". Y'a plein de drogues et autres plaisirs qui vont te pourrir le corps, mais si tu ne restes pas en vie assez longtemps pour avoir les effets désagréables, up to you. Je trouverais ça dommage, mais c'est ta vie.

Je trouve évidemment que l'immédiateté prime sur l'avenir (et cela rejoint la réflexion de ton deuxième post). Je me dis que je peux mourrir demain, ou même aujourd'hui.
('cause they all drive killing cars)
Un but dans ma vie, c'est de pouvoir mourir en étant satisfait de ce que j'ai vécu.
Evidemment je garde quand même un oeil sur l'avenir, c'est pourquoi je poursuis mes études, sui s venu ce matin en cours...
Au pire, je redoublerai, mais je ne pense pas arrêter si près du but. Autre chose, je ne me sens pas encore près pour être balancé sur le marché du travail (en tant qu'ingénieur) , pas assez mur (je suis un gamin et j'en suis conscient, et même fier d'en avoir garder l'âme), et j'ai encore pleins de choses à vivre avant de me lancer dans une vie d'adulte.
C'est pour ça que j'envisage de plus en plus sérieusement à refaire une fac (autofinancé cette fois) après l'INSA.
Pourquoi donc?
Au départ, j'ai deux visions de mon futur travail. Soit un travail utile ( c'est à dire pour protéger l'environnement, pour moi c'est ça le probleme majeur à résoudre) (ce matin je me suis dit que soulager l'existence des gens en leur apportant un sourire pouvait être aussi un travail utile, mais j'ai pas eu le temps de développer) soit un travail qui me plait (vision plus égoïste) , donc dans la musique. D'où une volonté de faire une fac de zik!!

En ce qui concerne la plaisir, j'arrive de plus en plus à me satisfaire du moment présent (L'Epicure je sais ce que c'est mais ça fait mal<===petite blague du matin)

Et pour mon pote, il doit être vraiment motivé, sinon il n'en aurait pas parlé (il est très renfermé).

Yadynn ton post est intéressant, et en ajout a ton édition, je dirais que je construis mon bonheur présent, de manière à ce qu'il nuise le moins possible à mon bonheur futur.


Voilà j'ai encore bien causé je suis content, et si vous voulez continuer la conversation, je suis là!

Maya a écrit:

(qu’est ce qui est le plus important pour vous ? gagner de l'argent ? avoir une vie de famille ? un métier qui vous plait ? des études courtes ? du temps pour rien faire ? ); si pour toi le principal c'est de t'amuser, ou d'avoir une vie de famille, ou de t'épanouir dans ton taf etc ...

Pour moi le plus important et je pense que c'est le cas de pas mal de monde qui a vécu une part de sa scolarité à l'étranger c'est de voyager, y a pleins de pays ou je suis allé quand j'étais petit que j'ai envie de revoir, et comme la plus part sont assez loin il me faut à la fois un métier qui a une paye convenable et ou on puisse bouger, et à part prof ou affaires étrangères a premier abords y a pas grand chose d'autre. Moi aussi j'aimerais bien avoir des gosses mais c'est vrai que quand je vois les familles que j'ai croisé à l'étranger en général c'est assez difficile pour la famille, une des deux personnes du couple est en général "obligé" de sacrifier sa carrière pour suivre son conjoint, pour les enfants c'est pas toujours évident non plus, j'avoue que même si c'est assez rare en France certains on des liens d'amitiés très fort avec des gens depuis une dizaine d'année chose quasiment impossible quand on voyage, on doit s'adapter à chaque nouveau pays, refaire sa vie continuellement et se faire des nouveaux amis.
Lorsqu'on se dit qu'on veut travailler à l'étranger y a du bon et du mauvais, c'est comme dans tout.

Bon je réalise bien je ne colle pas tout a fait avec votre discutions enfin tout du moins c'est l'impression que ça me donne mais moi aussi je me pause des questions la dessus et je dois avouer que ça me travail aussi.

Certains pays ou je suis resté m'on laissé plus de mauvais souvenirs que de bons, je pense que personnellement j'ai pu pas mal goûter à la cruauté de l'être humain et croyez moi ça peut aller vraiment loin.

Bon j'arrête la parce que j'ai l'impression d'avoir fait une grosse tartine, ciao et a plus pour d'autres aventures.

Je suis déprimé par la longueur de vos post!

Metatron a écrit:

Je suis déprimé par la longueur de vos post!

je me sens moins seul d'un coup

je ne sais pas si c'est mon esprit non littéraire ou quoi, mais je suis tout content d'avoir lu le 1er texte après mon dernier poste ici, et j'en vois ses réponses !!
yalalahihou !!!

Edit: Auto censure

Ne t'inquiète pas, moi aussi je suis rebuté par les longs posts. Mais ici le sujet m'intéresse vachement, alors, pour une fois je développe.

Dépressive simple et sans complexe. En 7 mots, ça va pas bien en ce moment !!!!

*partie me suicider avec une lime à ongle.

Bart alias l'antidépresseur à votre service j'écoute

Briginda a écrit:

Dépressive simple et sans complexe. En 7 mots, ça va pas bien en ce moment !!!!

*partie me suicider avec une lime à ongle.

REVIENS!!!! Prend mes ciseaux ils coupent mieux

Nico_RRRR a écrit:

Briginda a écrit:

Dépressive simple et sans complexe. En 7 mots, ça va pas bien en ce moment !!!!

*partie me suicider avec une lime à ongle.

REVIENS!!!! Prend mes ciseaux ils coupent mieux

Moi je déprimais à mort hier soir, merci les copains qui m'ont remonté le moral (ils se reconnaitront) et aujourd'hui ça va hyper mieux.

LES AMIS C'EST LA VIE
ceci est un communiqué du CPBH

Sortez au Ciné pour vous remonter le moral, c'est pas cher en ce moment, enfin jusqu'à demain, en même temps si vous êtes pas capable de tomber dépressif au mauvais moment c'est de votre faute

bon, ti coup de mou ce soir là .... je suis fatiguée d'enchainer tt ce que j'ai à faire sans jamais m'arrêter .... à peine si jai le temps de manger, d'aller chercher de l'essence ... je suis tjs en train de courir entre 2 horaires tendues, j'en peux plus, je voudrais avoir le temps de me reposer ....

aujourd'hui ça a donné un truc comme ça:

8h15, réveil ....
8h55 .... heu, merde jme suis rendormie et je commence à 9h30 ^^
9h20: je prends la voiture
9h35 ( heu oui c'était rapide le trajet !! ) / 11h: cours ....
11h15 / 12h40: sonanbul ( emrci magda ) pour bosser le fly du steac
12h40 prenage de voiture direction rouen
13h/15h40: répète de musique de chambre ( avec le stress qui monte vu que le concert c'est mercredi )
15h40 prenage de voiture direction la fac
16h: arrivée à la fac, vite vite maya !! il te reste 1h avant ton cours pour essayer de lire un bouquin que tu devrais déja avoir fini depuis 3 semaine ...
17h/18h30: cours
18h30: direction sonanbul, CA
19h55: fin du CA, direction le steac en vitesse pr prévenir que je venais aps ( heu oui ok ça se terminait 10 minutes plus tard .... )
19h57: prenage de voiture direction chez mes voisins pour un bb sitt de merde
20h15: arrivée pile poil chez les voisins !! bb sitt de merde jusqu'à 22h40 .... ( ouais, un ti peu de sous ) bon jai continué à lire ce foutu bouqui .... entre 2 crises de larmes du bébé que j'arrivais aps à calmer ....
22h45: retour chez moi, et enfin je peux manger c cool !!
heu maintenant je vais me coucher car demain c'est aussi une grosse jouréne ...

enfin bref tt ça pr dire que ça vous parait ptêtre pas gd chose mais ne jamais avoir le tps de se poser je trouve ça vraiment dur .... ne jamais pouvoir se dire que là maintenant tout de suite on a 10 minutes et qu'on 'na rien à faire !! pas de cours à bosser, pas de books à lire, pas de perm à tenir, pas de bb à garder, pas d'instrument à bosser .... enfin bref, la pression continuelle ça finit par exploser et là ..... ça devient chaud à gérer ... amis du desespoirn bonsoir ... ( en plus, je relis aps mon post jai pas le tps, la flemme, tt ce que vous voulez, et je laisse ttes mes faites de frappe ... )

Le genre de journée que je ne supporterai pas!! Va falloir que tu leve le pied!!

fais comme moi: ne fais rien !

bon, c'est plus facile à dire qu'à faire, c'est clair ! en même temps, ma situation n'est pas la meilleure non plus, parce que je ne tient à rester caissier toute ma vie, et je cherche une formation en ce moment... sachant qu'ayant fait une filière "math/info", je ne suis pas accepté en formation commerciale...

mais bon, je vais m'en sortir ! et pour l'instant, j'économise (enfin, j'essaie )

pffff .... vie de merde !! aujourd'hui c'était chaud aussi ....

matin: 9h/11h30 répète de musique de chambre ( la générale, super stressant jai les boules )
12h/14h perm à sonanbul
14h/14h45: posage d'affiches pour le steac et le courti dans toute la fac
15h/15h30 retournage à sonanbul pour .... lire un bouquin que je doit aussi avoir fini depuis belle lurette ...
16h/17h: aide aux devoirs : de l'allemand pdt une h, oh joie
17h30/19h aide aux devoirs, des maths pdt 1h30, oh bonheur
19h15: retour chez moi, posage sur mon lit, pu le courage de rien faire ..... déconnection du cerveau ...
20h: on mange chez moi. super, je découvre une lettre qui m'est adressée et qui me fout encore plus le bourdon ....
21h, j'arrive sur internet, et que vois je ? 14 mails dans ma boite mails en 1 journée .... mon dieux mais c'est pas possible, pas le tps de répondre à tt ça c'est la galère ...
22h: heu c'est ds 5 minute,s c l'h a laquelle jai rpévud 'aller dormir ...

et donc cette lettre: c'était l'UCPA avec qui je bosse en aout prochain; pour un week end de "formation / réunion" obligatoire pour les coordo et responsables d'unités junionr ( moi quoi ) l'été prochain .... je devrais être suepr contente, un week end entier à bosser sur que des trucs que j'aime et qui me plaisent !! seulement le truc c'ets que c'est le week end du 11 et 12 mai le mm que celui du festival de la brouette, le mm que celui du festival d'impro des steac .... et là je dis meeeeeeeeeeeeeerde j'en air as le bol de devoir faire des choix cornéliens c'ets chiant, ya rien qui me rend plus triste que ça ....
sur ce, bonsoir ...

Allez, fait risette, ça ira mieux demain soir :wink: