Mélancolie dans les oeuvres du XIXe

oui je confirme, j'étais à coté, et c'est très productif les cours de littérature
moi je mangeais du chocolat à ce moment la mais chttt faut pa le dire

C joliment raconté...
Enfin bon je vois pas le rapport avec la mélancloie du 19eme

Cherche pas à comprendre et d'ailleur je tiens à signaler que ce cour a donné lieu à 2 nouvelles productions . L'une n'est pas fini et l'autre non plus d'ailleur mais comme j'ai rien de mieux à faire pour l'instant je vais les poster.

Attention les yeux, installez vous confortablement , prenez une biere (pour ceux qui en boivent) sinon panaché et c'est parti.

Les vaches dans les prés, il faut les voir de loin. Elles broutent pleins de l'herbe et puis aussi du foin. Et puis il y les mouches , qui les aiment meuh, meuh. Qui leur chient dans les oreilles et aussi dans les yeux. Les vaches avaient leur mouche attitrée, elles aimaient leur mouche, les mouches aimaient leur vache.

Ouaih, s'il y a bien un truc qu'il faut se mettre dans le crâne pour survivre à la ferme, c'est bien ça : Touche pa sà ma mouche.
J'étais tranquillement accoudé au mangeoir, m'offrant un ptit coup de farine de maïs quand une silhouette magnifique se dessina. Grande, normande, dans les 200kg, des pis parfaits, la belle avait l'air éffondrée.

Moi beau gentleman, je m'approche un drap brodé à mes initiales pour qu'elle puisse se moucher et mes mouches suivant mon exemple offrir leurs ailes au nez des mouches de la belle. La question me turlupinnait: Qui, que pouvait bien faire pleurer et trembler cette délicate peau de vache?

Elle renifla un coup et dit :
- Vous etes bien Paqueret ? Detective privé ?
- C'est moi-même m'dame . Que puis-je faire pour vous?
- J'ai une affaire à vous confier.
Et elle régurgita à mon intention plus d'herbes que j'en avais jamais vu. Je restais les yeux ébahis à regarder le tas fumant.
-Il y en aura d'autre, dit-elle, pourvue que vous retrouviez ma petite Lilie .

Lilie, cette affaire portait déjà un beau nom. Mais qui était-elle? Devinant ma pensée , la belle Marguerite ajouta :
-Lilie est ma mouche d'enfance. On est né en même temps, on ne s'est jamais quitté. Et il y a quelques jours, je prennais mon bain et Lilie prennait le sien? Vous savez on a tout les deux une baignoire à notre taille, nos lits, notre mangeoir. On fait tout ensemble. Et donc en sortant de l'eau Lilie était plus là, sa baignoire était vide elle avait même oublié de remettre ses 350 lentilles, elle est un peu myope. Je vous en supplis, retrouvez la !!

Suivant la génisse aux formes malicieuses, j'allait observer les "lieux du crime". Dans la baignoire, l'eau avait eu le temps de refroidir. Je remarquais immédiatement un détail intriguant. Quelqu'un avait pris soin de soignesement brouter l'herbe tout autour des 2 baignoires de façon qu'aucunes traces de pattes ne soient visible sur l'herbe. Cette histoire commençait à sentir mauvais et pas seulement à cause de la bouse.

Maurice, ma mouche qui me secondait dans mes affaires, bzita deci delà. Il regarda de plus prés, encore plus prés, toujours plus prés et là ce fut le drame. Il l'aperçut, un poil de mouche. Mais pas n'importe quel poil, un poil de mouche rouge avec une tique dessus. Maurice se précipita sur la tique qui voulut s'enfuir. Maurice fut le plus rapide et la tique se retrouva saucissonnée sur une chaise à tique. Paqueret et Maurice le regardèrent sournoisement s'approcher de lui prés, trés prés, trop prés. La pauvre tique suait comme un porc et tremblait sur sa chaise tellement fort qu'on aurait pu la classer 5 sur l'échelle de Schlesser.

-Alors, dis-je, où elle est passée la Lilie?
La tique semblait sur le point de craquer. Alors qu'elle allait ouvrir la bouche pour parler, les bruits caractéristiques du fermier venant faire sa traite retentirent. Un mouvement de foule se fit en direction de l'étable. Ce n'était pourtant pas l'heure de la traite. Les autres vaches partirent, je jettais un coup d'oeil à la tique , morte bien évidemment . Ce mouvement n'était pas un hasard.... Quelqu'un de puissant faisait tout pour m'empécher de retrouver Lilie ...

nuit------------------> les rimes c'est jolis mais ça rend un peu tout pas très comprisible lol mais bon tu es majeure tu écris ce que tu veux sur le sujet que tu veux

briginda-----------------> les meuh meuhs et les mouches, intéressant

phauron--------------> je m'attendais à du Baudelaire pour le mélancolique, c'est le seul auteur que j'arrive à supporter........ Cheteaubriant ses mémoires ça me fait rêver mais il me faudrait toute une vie pour lire tout ça...........

au fait avec le glaçage que le coiffeur m'a fait je ressemble à une presque-blondes ( qui connaît comprend le jeux de mots pourri, une de mes spécialités, quoique c'est dur à comprendre des fois)

marck a écrit:

Cheteaubriant ses mémoires ça me fait rêver mais il me faudrait toute une vie pour lire tout ça...........

Je ne te le fais pas dire!!!!!